Mon résumé : (tome 2)
On aperçoit tout d’abord un jeune couple parti pour le week-end dans une maison de campagne. Un seul des deux en reviendra. Mais l’enquête policière qui va suivre semble avoir été faussée.
Dix ans plus tard , loin des côtes Islandaises dans un pavillon de chasse quatre amis d’enfance se retrouvent pour évoquer la mémoire de leur amie disparue. Les retrouvaille sont plutôt froides et tendues.  Au petit matin il n’en resta plus que trois (Comme le disais Agatha Christie) .
Hulda est chargée de l’affaire mais pour elle aussi ,sa vie est une succession de drames.
Ce tome se situe quinze ans avant les derniers événements de La Dame de Reykjavík . 
On se laisse emporter dans l’histoire tout de suite et on suit Hulda  avec tout autant d’intérêt. Ici , elle part à la recherche de son père qu’elle n’a jamais connue.
J’ai une préférence pour le tome précédent l’ayant trouvé plus fort, plus marquant mais celui-ci aussi reste un bon cru.
Je me lance dans le troisième et dernier tome de la trilogie.

J’ai aimé me retrouver dans cette sorte de  huis-clos tendu avec les quatre camarades d’enfance.