
A la suite d’un accident, un homme se retrouve piégé dans un village enseveli sous la neige. et coupé du monde par une panne d’électricité.
Il est confié à Matthias, un vieillard qui accepte de le soigner en échange de bois, de vivres et, surtout, d’une place dans le convoi qui partira pour la ville au printemps, seule échappatoire.
Dans la véranda d’une maison ou se croisent les courants d’air et de rares visiteurs, les deux hommes se retrouvent prisonniers de l’hiver et de leur rude face à face.
J’ai aimé cette atmosphère quelque peu apocalyptique, cette ambiance créée par la neige qui tombe sans discontinuer. Voir ces paysages à la fois si beau mais dangereux aussi. Cela pèse sur les protagonistes qui se retrouvent dans un huis-clos stressant avec pour principale préoccupation survivre. Se nourrir, se chauffer, et trouver une issue pour partir.
Dans quel sens évolue la relation entre les deux hommes ? C’est la question que l’on se pose tout le long. Un brin décevant pour son manque d’action mais une lecture qui ne s’oublie pas.
Bonjour aline. Ceroman ne me tente pas. Bonne journée